Le devoir de mémoire au Mémorial de la Résistance
Quelques images d'Alain Eymet
sur les temps forts
de cette journée nationale de la Résistance.
Il n'y a aucune hiérarchie dans ces images. Celle ci-dessus est, peut-être, celle qui est la plus porteuse d'espoir. Anaïs et Louis, deux très jeunes écoliers du C.M. 2 de l'école de Sagelat, partageant l'émotion encore enfantine d'escorter Brigitte Pistolozzi, conseillère départementale, pour le dépôt de gerbes.
Olivier Reynal et Michel Dumas, les figures locales des sapeurs-pompiers, précèdent la forte délégation du noble corps qui, pour la première fois, est venu à cette cérémonie, en grand nombre. Merci à eux tous avec une note particulière pour notre ami le capitaine Guy Ferber qui est l'éducateur des jeunes générations.
Cette année, le 27 tombant un samedi, il n'a pas été possible d'envisager de constituer une chorale de scolaires. C'est donc l'ensemble vocal de Belvès, guidé par Andrée Westeel-Bellynck, son chef de choeur, qui a pris en charge la totalité de la partie chorale.
Les maires du sol fongauffierain, Jean-Bernard Lalue, maire de Monplaisant, et Olivier Merlhiot, maire de Sagelat, entourent Michel Rafalovic, maire du Coux, président de la communauté de communes, et Brigitte Pistolozzi, conseillère départementale.
Les généraux de notre secteur géographique honorent de leur présence, cette cérémonie. À gauche, le médecin-général Michel Labare, au centre le général Jean-Loup Chinouilh. À droite, le colonel Gilles Heyraud, "gardien du temple" qui, au niveau local, tient à ce que les pages douloureuses de notre histoire ne vacillent point dans l'oubli.
C'est Claude Hélion qui prit la parole pour l'ANACR et fit la lecture du texte écrit collégialement par Cécile Rol-Tanguy, Henriette Dubois et Pierre Martin.
Lila Trombetta, jeune lycéenne monplaisanaise, l'an dernier, lors de sa lecture, a émerveillé par la qualité de sa diction. Cette année, elle est revenue, essentiellement pour les jeunes de son âge, notamment les jeunes sapeurs, sur Le chant des partisans. Sa lecture a beaucoup intéressé l'assistance et a rappelé la genèse de ce chant envoûtant.
Michel Rafalovic ne voulait pas que sa prise de parole soit une dissertation creuse. Il a, certes, pointé le devoir de mémoire mais il a su, aussi, dire combien la situation est inquiétante dans une Europe qui peine à trouver un axe commun nécessaire au renforcement d'une paix salutaire.
Le reportage photographique
de Bernard Malhache
Maurice Clavière, porte-drapeau buguois, des anciens C.V.R, était probablement le doyen de cette manifestation. Cet Ardennais qui prit le maquis dans les rangs des FTPF en Périgord, ne saurait manquer au devoir de mémoire. Maurice, naturellement, vous avez droit à toute notre affectueuse et respectueuse admiration.
Olivier Reynald
Olivier a soigné sa coupe de cheveux.
Michel Rafalovic voudrait que l'Europe pacifique s'affirme pleinement. Comment ne pas partager cette aspiration !
Claude Hélion a rappelé la mission de l'ANACR
Michel Dumas salue l'Hymne national.
Cette année, Mathilde, la benjamine des porte-drapeaux, a été relayée par une autre jeune personne, l'unique représentante de la gent féminine dans le cortège des porte-drapeaux.
Benjamin Delrieux, conseiller régional, entouré d'élu(e)s était le plus jeune édile de cette manifestation.
Le pont de l'Ascension n'a pas empêché de nombreux élus de pouvoir se consacrer au devoir de mémoire.
Au piédroit du mégalithe. Au centre de l'image, Romain Garrigue, le jeune porte-drapeau de l'ANACR, en partie caché par son étendard, est venu exprès de Toulouse pour cette journée de la Résistance.
Minute de silence.
Les images © de Bernard Malhache sont obligeamment fournies par son auteur à ce blog.
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Demain, l'hommage à Paulin Dubeau
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