La Dordogne, très haute, a évité de justesse une crue automnale
Notre Dordogne, fleuve fort impétueux jusqu'à la construction des barrages au cœur du siècle dernier, a trouvé une forme de régularité qui satisfait à peu près ses riverains.
Les étés particulièrement chauds et secs, inévitablement, réduisent sa puissance mais celle-ci revient avec les fortes précipitations. Il y a moins d'un mois, elle était à l'étiage. Les pluies d'octobre lui ont redonné sa vigueur. Il y a eu, vraisemblablement, aussi, un délestage des barrages.
La Dordogne est à nouveau en hautes eaux jusqu'au printemps prochain.
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La confluence de Limeuil. Le fleuve historique, au premier plan, arrive à la confluence et réceptionne la rivière préhistorique, la Vézère, à droite de l'image. Elle vient mêler ses ondes au cours d'eau dominant. Observez le tumulte de la jonction, bien visible sur la droite de la photo.
Photo © Bruno Marty
La Dordogne, de justesse, a évité une sortie franche de son lit. Elle recouvre néanmoins ses berges comme en témoigne l'arbre qui a les pieds dans l'eau.
Photo © Bruno Marty
La Dordogne au Buisson, l'aire de vacances frise l'inondation.
Photo © Bruno Marty
Un autre angle de vue de la Dordogne au Buisson, toujours en aval du pont de Vic. Tout au bout de l'image agrandie on aperçoit le viaduc ferroviaire.
Photo © Bruno Marty
La Dordogne à St Chamassy. Au pont de Vic la maison du passeur
Photo © Bruno Marty
La Dordogne à Siorac. Le fleuve s'invite sur les berges et recouvre l'extrémité de la route d'accès à la plage.
Photo © Bruno Marty
La Dordogne à Siorac. L'arche sèche a été épargnée de la montée des eaux mais d'extrême justesse.
Photo © Bruno Marty
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