Terres de Nauze

Une maternité à Sarlat... c'est forcément coûteux et largement facultatif.

Il faut avoir l'esprit particulièrement obtus, être hostile au pragmatisme, se situer hors du temps, pour penser qu'une maternité à Sarlat, c'est un pôle à préserver, voire à renforcer.

Notons que la population locale ne trouve pas cette résistance particulièrement judicieuse puisque, ce 1er mai,  seulement 200 à 300 personnes, 275 selon le comptage le plus affiné, sont allées manifester pour pérenniser cette nécessité d'avoir une maternité dans cette ville.

Le 1er mai, on a, tout de même, autre chose à faire que de braver les intempéries pour manifester pour des futilités... comme la fragilité de vies à venir. Que c'est secondaire tout cela ! Il vaut bien mieux se consacrer à d'autres priorités.

 

Hormis les "illuminés" caciques de la gauche de transformation sociale, dont Louis Delmon, complètement dépassé par la modernité, peu de personnalités de l'élite politique porteuse et éclairée de ce département, ont fait le chemin de Sarlat, pour exprimer une incompréhensible inquiétude primaire. Pour la majorité virtuelle "hollando-macronienne", en cours de traitement du "formatage" idéal, sauf erreur grossière, on ne remarquait guère que Régine Anglard et Jacqueline Dubois. Néanmoins, le premier-magistrat de Sarlat qui, comme chacun le sait, ne saurait être là dans un souci de récupération intéressée, s'est égaré ici et il a même exprimé son soutien à ce pôle placé sous l'épée de Damoclès

 

 

 

 

Parmi les manifestants, on pouvait remarquer un noyau de Belvésois.

 

 

Pendant les interventions.

 

 

 

Photos Patrick Pautiers correspondant de l'Écho Dordogne.

 



02/05/2017
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