Belvès. La rue du Petit-Sol endeuillée
PAYS de BELVÈS
Après la Libération, Lucienne noua une idylle avec un jeune serrurier-forgeron grolégeacois, Pierre-Jean Crouzil, qui fut, pendant l'Occupation, un discret mais ferme partisan de la Résistance.
C'est en 1950 que fut scellée leur union. Alain puis Jean-Bernard sont venus éclairer la vie de ce sympathique foyer. Tandis que Pierre-Jean devenait un artisan, doublé d'un fin pédagogue apprécié de tous ses élèves, il enseignait les travaux manuels au collège, Lucienne, toujours dans la discrétion, venait en aide aux personnes du castrum, en difficulté.
Les années passant, Lucienne devint quatre fois grand-mère et, à cinq reprises, bisaïeule, ce qui en fit une mamie comblée.
Elle rejoindra Pierre-Jean, 20 ans après son départ, dans la sépulture familiale à Belvès, après la cérémonie d'adieu de ce jeudi, à 10 heures.
Tous les voisins et amis des Crouzil, par leur présence, seront là, pour entourer la famille endeuillée.
A découvrir aussi
- Un ami de la Nauze pointe un nouveau trait.
- Crash dans le ciel saint-parducien au Bournat.
- Avà Corsica à Siorac
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 231 autres membres