A la basta que sigue
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Ce bien modeste blog commence à sortir de sa médiocrité. Que l'on se rassure, je n'y suis absolument pour rien ! C'est la conjonction de contributions qualitatives qui émanent de plumes généreuses et bénévoles ; et, là, pour éviter l'énorme risque d'oubli(s), je ne les citerai pas, tant vous saurez les reconnaître en sachant apprécier leur qualité, leur travail, leur observation minutieuse de la vie tout court. Ce blog n'a, bien entendu, pas la stupide prétention d'être un musée vivant d'ornithologie et pas davantage une embryonnaire scène écologique, encore moins une tribune culturelle avec des regards historiques. Ce blog ne saurait être, non plus, un agenda fiable et exhaustif. Beaucoup de manifestations ne sont pas citées parce que, tout simplement, pour aborder un sujet, il faut impérativement en avoir été avisé.
Ce blog s'est dégagé, à regret, certes, pour les figures les plus humbles de notre bassin de vie, des nécrologies, elles suscitaient des propos parfois acerbes et affligeants, ainsi il y aura une égalité totale entre tous. Bien entendu, ce blog n'écartera pas, bien au contraire, les contributions de chacune et chacun dans ce domaine.
De mon séjour azuréen, des années 70, j'ai mémorisé une expression de ce vieux Comté de Nice "A la basta que sigue" et j'ai tout de suite remarqué que cette expression est difficilement traduisible. On pourrait dire "À l'emporte pièce", "Comme on peut", "Sans ordre apparent", "Dans le désordre d'un capharnaüm"... C'est un peu cela, ce blog bien imparfait que certains s'obstinent encore à consulter !
Vaille que vaille, ce blog va comme il peut, sans ordre, sans méthodologie précise, c'est à la fois sa grande faiblesse et un peu, au moins je l'espère, ce qui fait que d'aucuns se plaisent encore à découvrir des sujets et des thèmes auxquels ils ne s'attendaient pas.
Ce blog va avoir, pendant un trimestre, à essayer de vivre sans son reporter photographique international auquel j'ai "refilé" le virus d'admirateur de la Nauze, des eaux vives et des sources. Il part en Polynésie, non pour jouir de fallacieuses images paradisiaques, au Pays des vahinés, mais pour son travail loin des terres "nauzéroises". Elles le rappelleront pour bien d'autres sujets ; car, Bruno, il abhorre les imperfections et les symphonies inachevées, voudrait terminer ses regards sur notre ruralité.
J'allais oublier et c'est pourtant capital, ce blog, notre blog, votre blog, est toujours à la recherche de forces vives non seulement parce qu'il apparaît urgent de penser à couper son vieux rameau, aussi périmé qu'obsolète, mais surtout pour favoriser des pousses vivifiantes, encore virtuelles, s'affirmant et s'épanouissant et aussi pour apporter des appuis informatiques. Je suis désolé de ne pas savoir introduire, en respectant méticuleusement la déontologie des droits d'auteurs, des musiques libres de droit. Pour épargner les atteintes à notre belle langue, que je sais malmener à l'envi, une, ou plusieurs, personne(s) correctrice(s) serait(ent) la (ou les) bienvenue(s) pour suppléer à la mission de Sylvie qui, elle aussi, a tout de même le droit de prendre des pauses.
Prendre contact :
05 53 29 07 50 ou 06 52 88 10 74
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