Une plume à la recherche d'une paisible harmonie.
St GERMAIN-de-BELVÈS
Éliane Arnoldy. Photo Pierre Fabre.
Éliane Arnoldy, un peu par hasard, a découvert le Périgord où elle a pris un logement dans l'agreste village de St Germain-de-Belvès.
Éliane a déjà publié trois ouvrages. Elle en a trois autres en préparation et un, en instance de recherche d'éditeur.
Cette fille d'ingénieur agronome français, d'origine hongroise, et d'une Belge, naquit au Zaïre, dans la deuxième partie du XXème siècle. Elle a beaucoup voyagé sur notre planète. Elle a parcouru l'Afrique, la Guyane et l'Orient. Notons, dans son cursus, son passage aux Beaux-arts, à Bruxelles, dans le chevauchement des décennies 70/80.
Éliane se situe dans la mouvance catholique-romaine. Cette mère de trois enfants qui, eux aussi, parcourent les continents, se dit ouverte à d'autres cultures. Elle est tentée par une approche du bouddhisme. Son travail artistique nous la fait découvrir dans une permanente recherche du spirituel et du sacré. Elle souffre de gros manques de compassion de la vie de notre temps. Éliane soutient une affinité pour la peinture. Cette passion traduit ses émotions.
Victime d'un accident grave, elle pâtit de la perte de beaucoup d'amis, après ce douloureux revers de la vie. Avec "Âme qui vive, témoignage d'une survivante", son dernier livre publié, elle nous livre ses afflictions.
Éliane, lors d'un moment de lecture, à la bibliothèque de Belvès. Photo Pierre Fabre.
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